Pas d’éclaircies en 2009 sur les ventes de mobiles en Europe de l’Ouest
Nouveau déclin pour le marché de la vente de téléphones mobiles en Europe de l’Ouest au second trimestre 2009 : selon IDC – et son outil de mesure « European Mobile Phone Tracker » -, 42 millions d’univtés ont été vendues dans la région, 6 % de moins à période équivalente qu’en 2008.
Une des tendances relevées par l’étude est la ruée des européens vers des téléphones de convergence (ou smartphones). Les mobiles traditionnels reculent de 12 % (33,2 millions d’unités) et les smartphones progressent de 25 % à 8,8 millions d’unités.
IDC est formel : l’impact de la crise va encore se faire sentir en Europe pour le reste de l’année. Les six premiers mois de l’année ont été particulièrement éprouvants à la fois pour les constructeurs et les opérateurs, du fait de la crise éonomique. « Du jamais vu dans l’histoire de ce marché », déclare le responsable de l’étude chez IDC, Francisco Jeronimo. Pourtant, toutes les nouvelles ne sont pas forcément moroses : le second trimestre représente une reprise par rapport au premier, qui accusait un recul de 14 %.
Pour l’année 2009, IDC anticipe un recul global de 10 % en Europe occidentale, même si la demande en smartphones devrait continuer d’évoluer positivement. Cette demande ne sera toutefois pas suffisante pour renverser la tendance.
Samsung menace un peu plus Nokia
Passons à présent au podium, où, symboliquement, la Corée semble devancer les pays scandinaves. Pour la première fois, note IDC, Samsung et LG ont vendu à deux davantage de terminaux que Nokia, qui reste le leader avec 36,3 % de PDM. L’écart est pourrant très serré : 28,9 % pour Samsung aujourd’hui. Il y a un an, Nokia culminait à 43 % et Samsung à 24. LG continue de menacer Sony Ericsson : 4,8 % (soit une progression annuelle de 71 %) contre 5,1 % pour Sony Ericsson, en recul de 18 %.
Enfin, Apple atteint 1,4 % (une énorme progression de 600 % !) et RIM (Blackberry) 1,2 , soit progression de 50 %. HTC ne fait pas partie du classement, arrêté le 26 août dernier.
Et oui c’est la crise mais faut reconnaître que beaucoup de GSM sont vendu avec des fonctions inutiles. Peu être en revenir a la déstination premiére du GSM, appelé et émettre des sms???
« L’écart est pourrant très serré » 😉 Petite faute de frappe.
Sinon, bin of course Nokia reste en tête et je pense a perdu un peu de terrain à cause de sa mauvaise position côté tactile mais pourrait reprendre de l’élan avec l’arrivée des N97 Mini, X3, X6,… Je vois mal Nokia perdre sa première place en fait.
Pour SE, je ne pense pas que ce soit le Pureness qui change quelque chose à la donne, la marque recule et je pense continuera de reculer, jusqu’à l’extinction ?… W&S !
Apple et BB grimpent, rien d’étonnant puisque l’on dit clairement que si les ventes de gsm reculent les ventes de smartphones elles augmentent et les deux marquent font partie du top de ce côté avec HTC. Dommage pour ce dernier que l’on ait pas les chiffres.
@MICKAEL
Revenir à la destination première d’un gsm ? Non, je ne pense pas… Bien qu’il y ait por moi un sacré marché à prendre chez les personnes âgées, et donc via des gsm jsutement qui reviendrai à leurs fonctions premières (appeler, être joignable, limite les sms et encore…) et avec une simplicité d’utilisation indiscutable et des touches bien lisibles sans oublier un grand écran pour afficher les caractères le plus grand possible. Pour le reste le marché se dessine clairement autour du « couteau suisse », du smartphone, de l’appareil avec lequel tu appelles, tu envoies des sms, tu envoies tes e-mails, tu surfe sur le net, tu tchat sur msn, tu consultes la bourse, tu écoute tes sons préférés, regardes un film dans le train, etc… Je me verrai mal reprendre un 3310, un iPod, un Pocket PC, etc… alors que je suis maintenant habitué à avoir un appareil qui m’apporte tout en même temps avec une qualité bien suffisante pour mes besoins. Aujourd’hui, même les téléphones à 100€ prennent les applications en Java par exemple et permettent d’installer des applications type Fb, twitter,… On ne fera pas machine arrière.